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Sur le trottoir de l'Elysée
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8 janvier 2009

Juge d'instruction...ne quittez pas l'Elysée va prendre votre appel


justice























Rachida Dati à accouchée d'un fœtus mort. Appelons le...juge d'instruction. C'est Sarkozy, à l'intérieur depuis toujours pour tout fumer, qu'il lui a fait dans le dos. L'expulsion du corps indépendant, gluant de "morve gauchiste", n'a pas été bien long à expulser. C'est d'ailleurs aujourd'hui que la Commission Européenne annonce le nom des pays levant les restrictions de circulation à l'égard des travailleurs étrangers. Cette  humaine "maîtrise des flux migratoires", dont le commissaire Hortefeux s'est faite une réputation. Cracher sur le nègre. Sur son embarcation de fortune et qu'il en chavire jusqu'aux plages de Lampédusa. Cracher sur le polonais, sur le roumain, sur le bulgare...et pour qu'à l'Est la transition se ressente jusqu'au plus profond du ventre. C'est la faim camarade! La faim!

Alors, comprenez combien au jeu des râfles (dans les charters ou dans l'organigramme judiciaire) la France du gouvernain est rôdée. Hier, un cartel d'avocats (aux honoraires digne d'un plan de relance) s'est donc empressé de monter au créneau. Chacun de justifier la naissance de la mort du juge, en expliquant combien ce dernier ne pouvait garantir l'impartialité d'une procédure. Car jugeant le plus souvent à charge et forcément contre la défense.
Un juge qui ne pèse pourtant que 5% des affaires. Les plus graves (crimes stupéfiants, terrorisme...) et les plus politiques (santé publique, finance, corruption...). La plus retentissante de ces derniers temps étant celle d'Outreau. Avec son lot de bavures judiciaires. Pointées du doigt par la commission Léger; qui n'a jamais demandé pour autant la suppression du juge d'instruction et qui, d'ailleurs, ne rendra son rapport qu'au mois de juin.

Comme le chien que l'on veux tuer et dont on prétend qu'il a la rage, Sarko, sale gosse, fait à son habitude de l'ombre dans la lumière. Tailladant dans les corps fragilisées des institutions. Pour que le socialiste en cage s'écharpe sur ses barreaux et que l'on ne puisse prêter quelqconque attention à tout le reste : Râtés de la tournée au Proche Orient, manifs lycéennes, râfles, inflation du salaire du président du Pôle Emploi et autre labeur dominical. 

De là à voir une corrélation entre le Sarkozy avocat à la mèche molle et au coup de poignard facile et le Sarkozy président à la talonette qui fait des bruits de bottes, ne serait que pur fantasme.

Demain l'instruction d'une affaire sera ainsi directement orchestrée par le Parquet. Dont on sait qu'il reçoit ses ordres du Garde des Sceaux. Lui même nommé par le premier ministre, sous les conseils du locataire de l'Elysée. Les moins nombreux s'afficheront aux côtés des meilleurs avocats. Et puisque le secret de l'instruction pourra également être violé, les marchands de journaux et d'armes de ce pays leurs serviront de tribune plamphétaires. Les autres se contentant des baveux commis d'office. Inexpérimentés et sous payés. D'une justice qu'il faut mettre au pas, avec les même intentions mafieuse que dans l'italie Berlusconienne. Un même poison pour endormir les contre pouvoirs (justice, télévision publique, opposition syndicale et assaociative...).

S'il s'agissait de prendre un accent transalpin pour désormais se dire français, il fallait nous le dire avant. Nous nous serions mis à croire plutôt, que la balle de Trézéguet sur la barre un soir de juillet 2006 était un vrai cadeau du ciel. Pas de bol quand même. Car à ce jeu là nous pouvons encore faire renaitre les Batisti, les Petrella et les Carlo Giuliani.

Puissiez vous ne jamais comprendre que vous avez fait de nous...des fous!

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Commentaires
A
cela fait decidement du bien de vous lire...
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